mardi 23 juin 2009




































5 JUIN 2009 – LISBONNE-SESIMBRA

Descente du TAGE, nous suivons le chenal, lorsque nous apercevons « une bouée noire » qui ne figure sur aucun document !!!!, mais il y a des hommes sur cette bouée ????, bizarre …, enfin nous comprenons, c’est la tourelle d’un sous-marin. Rencontre insolite pour nous, nous apprendrons plus tard qu’il y avait un exercice de l’OTAN, on avait effectivement vu beaucoup de navires militaires, mais ils ont bien le droit de se promener eux aussi.


Nous avons perdu le soleil, et nous voici partis pour une journée de près et de plus la pluie nous oblige à ressortir les vestes de quart. Nous voulions atteindre SINES mais finalement notre journée se terminera dans un petit port nommé SESIMBRA dont les Instructions nautiques donnent une description peu engageante. Miracle de la manne européenne nous voici amarrés à un ponton super sécurisé avec un club dont les installations sanitaires feraient pâlir d’envie de nombreuses marinas françaises.

Port de pêche important avec usine de conditionnement, ce village a perdu son âme, les maisons du vieux village sont abandonnées et délabrées et des immeubles fleurissent partout pour accueillir la population de Lisbonne en villégiature.


6 JUIN 2009 – SESIMBRA-SINES

Nous reprenons notre voyage avec un vent de Nord Ouest, des grains et des rafales et c’est en fin de journée que nous arrivons à SINES, village où naquit VASCO DE GAMA et qui a gardé un certain charme
.
7 JUIN 2009 et 8 JUIN– SINES- MAZAGON

C’est avec un peu d’appréhension que nous prenons la mer car nous devons franchir aujourd’hui le CAP SAINT VINCENT aussi renommé que le CAP FINISTERRE.

Journée agréable à tirer des bords et nous franchissons le cap à la nuit tombante, cap majestueux, impressionnant avec la ville de SAGRES non loin ou se situe l’école de navigation fondée par HENRI LE NAVIGATEUR. Jean Pierre aurait aimé visiter, mais nous décidons de continuer et de ne pas nous arrêter à LAGOS car c’est la nuit.

Un plaisancier que nous avions rencontré auparavant, nous avez signalé qu’après le cap Saint Vincent, il n’y avait plus de houle et nous constatons avec joie que c’est vrai, et le bateau glisse avec 10-12 nœuds de vent portant

La nuit s’annonce calme sous un clair de lune parfait qui nous éclaire toute la nuit.


Le lendemain nous nous rapprochons de la terre afin de nous amarrer dans un des deux ports de l’embouchure du GUARDIANA, nous sommes assez surpris par le nombre de filets et de casiers et nous devons être très vigilants.

Le vent se lève, et la mer devient agitée, ce n’est pas un bon plan pour rentrer dans l’embouchure du GUARDIANA car les eaux sont peu profondes et avec nos 2 mètres de tirant d’eau, certains petits coins sympathiques nous sont interdits.

C’est le soir, que nous arrivons à MAZAGON fatigués….., une bonne nuit de sommeil et c’est reparti.

9 JUIN 2009 MAZAGON-CHIPIONA

Belle journée de navigation sur un seul bord à slalomer entre les filets et les casiers. Arrivée à CHIPIONA à l’embouchure du GUADALQUIVIR. Vu de la mer cette citée nous apparaît assez jolie, ce qui se confirme lorsque nous la visitons. C’est une station balnéaire bien entretenue avec quelques monuments intéressants et des places et ruelles assez typées. Très bonne impression.






Nous étudions pendant un long moment la remontée du GUADALQUIVIR jusqu’à SEVILLE qui parait-il est à visiter.

10 heures de moteur pour la montée, 15 heures pour la descente, cela ne nous convient pas, aussi nous abandonnons cette idée.

Nous sommes passés devant l’ALGARVE sans nous arrêter, c’est un regret, mais nous ne pouvons pas tout voir et nous sommes déjà en retard, nous devrions être aux Iles BALEARES où Nathalie et Nicolas devaient nous rejoindre. Finalement le point de rencontre sera CADIX.
Ils ont pu prendre au dernier moment un billet d’avion pour MALAGA et nous nous apercevons que ce n’est pas facile de donner un rendez-vous longtemps à l’avance. Avis aux équipages qui doivent nous rejoindre.


Du 10 JUIN 2009 au 13 JUIN– CHIPIONA-CADIX

Nous sortons le SPI par 15 nœuds de vent et nous voici rapidement à CADIX. Nous croisons 2 paquebots dans le chenal, c’est gros un paquebot !!!! Nous avions priorité sous voile, mais nous verrons plus tard, mieux vaut se pousser.


Le lendemain, nous visitons CADIX, nous commençons par un jardin botanique très beau (une pensée pour Hélène) et ensuite nous nous dirigeons vers la vieille ville ; je suis un peu déçue car tous les monuments sont en réfection et il y a des travaux partout dans cette citée. Le centre ville est un vrai labyrinthe de ruelles étroites et assez jolies où il est impossible de circuler en voiture (usage du scooter) et où nous n’avons aucun recul sur les monuments ; d’ailleurs nous tournons en rond à la recherche d’une quincaillerie que nous avions déjà trouvée auparavant. Toutes les mêmes ces ruelles !








En attendant, Nathalie et Nicolas, lessive, grand nettoyage, aucun problème pour le séchage car il y a du vent et du soleil.


14 JUIN 2009 : CADIX-BARBATE

Première journée pour Nath et Nicolas, nous devons absolument passer GIBRALTAR avant que les vents ne virent à l’Est aussi nous ne laissons pas le temps à nos invités de visiter CADIX.

La journée fût la plus difficile depuis le début de notre navigation, il y a peu de vent et beaucoup de mer, surtout en face de TRAFALGAR, le bateau tape et nous sommes obligés de tirer des bords au moteur afin de minimiser l’effet des vagues. Sur les instructions nautiques il est mentionné qu’à cet endroit il y a des raz de courants, nous voilà moins ignares. Pas de chance pour Nathalie et Nicolas qui souffrent un peu.



DU 15 JUIN 2009 au 17 JUIN 2009 : BARBATE- GIBRALTAR

Nous repartons en nous disant que nous allons subir de nouveau des raz de courants mentionnés sur les cartes à la pointe de TARIFA, tout se déroule pour le mieux et lorsque nous rentrons dans la baie de GIBRALTAR, un vent d’Ouest de 35 nœuds nous oblige à aller se réfugier au port de ALGECIRAS où nous ne voulions pas aller car c’est une ville industrielle et il n’y a rien à voir – ce qui se confirme.

Petite discussion avec la police locale pour passer la nuit au quai, et douche au club.

Le lendemain, nous repartons vers le territoire britannique et nous trouvons une place au port juste à côté de la piste de l’aéroport de GIBRALTAR, piste qui est aussi la frontière avec l’Espagne.

Nous voilà pour 2 jours à visiter ce rocher si célèbre ; des paquebots qui se suivent et qui déversent des milliers de touristes par jour, çà devrait être beau.

Le premier jour nous découvrons la rue principale, un condensé de magasins de souvenirs, de bijouteries, d’habits de marque et de restaurants, tout pour plumer le touriste.

Le lendemain, nous partons à l’assaut du rocher avec le téléphérique qui nous dépose tout en haut sous la brumequel dommage, nous n’apercevons même pas l’Afrique qui se trouve à 14 kilomètres. Bien sûr nous rencontrons les singes et nous redescendons pour visiter une grotte splendide, un musée dans une galerie qui retrace l’histoire du rocher imprenable et toujours aux mains des anglais. Nous sommes, tous les quatre déçus, car nous avons payé cher et nous découvrons un parcours et une ville sales et nous avons bien l’impression de nous faire plumer comme les autres touristes.

Le 18 juin 2009 – GIBRALAR – PUERTO BANUS

Nous voici en Méditerranée, pas de vent, belle mer, beaucoup de moteur et nous débarquons dans le port de PUERTO BANUS - Le SAINT TROPEZ espagnol – Ce n’est vraiment pas notre milieu et bien sûr notre bateau parait ridicule au milieu des yachts de luxe.

Sur les quais, c’est un défilé de voitures de luxe, Nicolas nous cite tous les modèles et prend quelques photos de Ferrari, Bentley, Rolls Royce et autres…., c’est aussi un défilé de belles filles et je ne crois pas que Nicolas ait pris des photos, Nathalie est là pour surveiller !!!!

Dans la ville que nous visitons au pas de charge, nous ne voyons que marbre et dorures !!!

Nous ne nous éternisons pas, car le luxe se paye cher et le prix de la nuit au port de 64 euros nous laisse perplexe, il faut en plus payer 4.40 euros d’électricité (les nuits au port sont pour nous environ de 24 euros) et laisser des cautions de 210 euros pour 2 cartes magnétiques et une rallonge électrique (12 euros dans les autres ports).

Du 19 au 20 juin 2009 PUERTO BANUS – FUENGIROLA

Petite étape, qui nous amène dans une station balnéaire plus modeste. Nathalie et Nicolas nous quittent emportant toutes nos photos. Nous espérons qu’ils ont passé un agréable séjour, un peu court, mais peut-être reviendront-ils ?

Visite de la ville et approvisionnement pour les jours suivants.


Du 21 au 23 juin 2009 – FUENGIROLA – ALMERIMAR

Toujours pas de vent, mer relativement polluée, nous décidons de mouiller le soir dans une crique abritée entre MALAGA et ALMERIA. C’est notre premier mouillage, car sur l’Atlantique les côtes très abruptes ouvertes à la houle du large n’incitent peu à ce genre d’exercice.
Tout se passe bien, nous avons envie de nous baigner, mais nous sommes de suite ralenti dans notre élan, en voyant passer à côté de Fleur de Lune, les poubelles du village entraînées par un courant et suivies par un banc de mulets.


Nous repartons de bonne heure, enfin 9h30, c’est tôt pour nous qui sommes en vacances, en espérant avoir un peu de brise, rien, pas un souffle encore du moteur et un paysage très décevant, quoique attendu, des immeubles et des serres à perte de vue et nous relâchons à ALMERIMAR dont voici la description tout à fait réaliste des Instructions nautiques espagnoles « une grande partie de la région intérieure est une grande feuille de plastique sous laquelle se cultive la majeure partie des fruits et légumes consommés en hiver par l’Europe du Nord ».

samedi 20 juin 2009

JUIN 2009















DU 1ER JUIN AU 4 JUIN 2009

Remontée du TAGE, nous devions en avoir pour 4 heures de navigation, cela se termine par presque une journée, un peu de prés pour aller récupérer la bouée d’entrée du chenal et les courants contraires limiteront notre vitesse à 4 nœuds. Nous découvrons la tour de BELEM magnifique et ensuite nous passons sous le pont sous un vacarme impressionnant dû au fait que celui-ci est métallique.





Jean Pierre arpente les quais à la recherche d’un bouton poussoir pour le démarrage du moteur pendant 1 jour ½ - échec total il n’a pas trouvé dans tout LISBONNE un bouton poussoir !!!Enfin, nous allons visiter, nous sommes amarrés au port d’ALCANTARA qui se trouve un éloigné du centre ville aussi nous empruntons les transports en commun qui pour certains sont assez pittoresques, tout en bois à l’intérieur.



Pendant 2 jours nous parcourons les rues où nous découvrons de jolis monuments qui alternent avec des rues assez sordides, la propreté n’est pas de mise dans cette ville.

La ville compte 7 collines d’où il y a une vue imprenable sur la ville, nous n’allons que sur la colline du château de SAN GORGE que nous visitons.

Le premier soir nous demandons au capitaine du port où nous pouvons écouter du FADO, bien sûr, il nous dirige vers le ALTO BARRIO, haut lieu du fado, il fait nuit, il n’y a presque personne dans les rues et certaines évoquent des coupe-gorge, nous ne sommes pas très rassurés et nous rentrons au bercail bredouille avec des kilomètres dans les pattes car nous n’avions encore exploré les transports en commun.

La veille du départ, nous repartons à la charge dans un quartier un peu moins typé, et nous écoutons plusieurs interprètes, personnellement je trouve cela un peu trop mélancolique.

Nous sommes contents de quitter le port d’ALCANTARA, qui nous a permis de visiter le centre, mais qui est un port sans âme perdu au milieu des docks et sous le pont métallique dont le bruit finit par nous irriter.

lundi 1 juin 2009

JOLI MOIS DE MAI

FLEUR DE LUNE – ARZAL

DIMANCHE 10 MAI 2009
8 heures du matin, Charly et Françoise sont sur le quai pour nous dire au revoir. Cela fait 10 jours que nous sommes en congés et nous sommes enfin prêts, les derniers préparatifs furent plus longs que nous l’avions espéré.

C’est avec un peu d’émotion que nous voyons défiler les berges de la Vilaine. Une année complète, ne plus penser au travail, ne plus penser aux tâches quotidiennes mais ne pas savoir à quel endroit nous serons le soir même ; tout cela entraîne quelques états d’âmes !!!

Le temps est gris, un peu de vent, nous nous arrêtons à l’île d’Yeu.


LUNDI 11 MAI 2009

ILE D’YEU – LES SABLES D’OLONNE

Tout au près, et pas de beau temps en vue, donc nous ne traversons pas encore.

MARDI 12 MAI AU DIMANCHE 17 MAI 2009

LA ROCHELLE.

Nous sommes coincés au port, car il est hors de question de traverser le golfe avec du vent fort de Sud-Ouest, nous faisons les derniers préparatifs et nous faisons aussi des connaissances, quelques apéros le soir et nous devenons très impatients, déjà du retard sur les premiers jours !!!!



LUNDI 18 MAI 2009

Nous partons enfin, le vent se calme et se calme vraiment, il ne reste plus qu’une houle d’environ 4 mètres. Dur dur pour les estomacs fragiles. Le temps est gris et il fait froid et c’est avec nos 3 couches de polaires et les cirés que nous abordons la première nuit.

La lune n’est pas au rendez-vous, et nous avons un sillage tellement phosphorescent (vert)que par instant nous avons l’impression que le bateau est éclairé, nous n’avions jamais vu cela, c’est magnifique.

La journée suivante est toujours sans vent, ciel gris, quelques dauphins viennent nous rendre visite – comme d’habitude et la nuit suivante nous avons la visite d’un couple de martinets qui se posent sur mes mains, sur mon visage après avoir fait l’inspection de l’intérieur du bateau et finissent par se réfugier sous ma veste de quart. Jean Pierre prend la relève et ils partent, enfin pas tout à fait, car nous en trouvons un mort dans un équipet. Nous avions des odeurs nauséabondes et nous cherchions pourquoi depuis 2 jours.

Jean Pierre sera accompagné cette même nuit par une trentaine de dauphins avec leurs sillages phosphorescents – je n’ai pas pu en profiter, mais on ne peut pas dormir et veiller à la fois !!!!

La houle est toujours présente et nous avons des vents qui ne nous portent pas vers le Cap Finisterre aussi l’équipage fatigué décide de mettre le cap sur SANTANDER ou nous arrivons toujours accompagné par la grisaille le mercredi 20 mai. Visite rapide de la ville, Jean Pierre se croit déjà en été et par en Tee shirt et short. Quelle mauvaise idée il fait froid, et nous ne garderons pas un souvenir impérissable de cette ville, mais nous n’avons pas pris le temps de la visiter et il faut repartir.
JEUDI 21 MAI 2009

Cette fois-ci nous partons décidés à passer ce cap mythique. Toute la journée nous sommes sous spi et nous avançons à 6 nœuds en moyenne. Le soir le vent monte nous naviguons maintenant sous grand voile et inter. La nuit nous rencontrons beaucoup de navires – pêche- commerce- et parfois des lumières non identifiés qui nous défient !!!!.
La nuit se finit par un force 6 sous sommes sous grand-voile à 2 ris et n’avons pas eu le courage de mettre le foc. Non, décidément, nous ne passerons pas encore la pointe Finisterre, nous faisons relâche le vendredi 22 à RIBADEO, port que nous connaissons bien – toujours de la grisaille !!!

SAMEDI 23 MAI 2009-DIMANCHE 24 MAI

Passage du Cap Barès et du Cap Ortégal sous la pluie et un peu de vent. Arrivée à Camarinas.
Nuit tranquille au niveau navires, nous constatons que les pêcheurs ne travaillent pas le week-end et c’est bien ainsi.

LUNDI 25 MAI 2009

Départ de Camarinas sous un ciel gris, nous passons enfin le Cap Finisterre par force 3 à 4 et de suite après nous commençons à voir enfin un peu de ciel bleu.


Arrivée à Portosin dans la baie de Muros sous un ciel bleu et sans vent, nous sommes un peu surpris car d’habitude il y a du vent dans cette baie.
Le soir nous arrosons le passage du Cap Finisterre, les tapas sont toujours aussi bonnes et le vin blanc est fameux. Le lendemain j’ai mal à la tête !!!!!

Journée du 26 mai - Grand nettoyage sous un vent soutenu. On se disait que Portosin sans vent ce n’était pas normal.

MERCREDI 27 MAI 2009

Nous avions prévu de revenir à ST JACQUES DE COMPOSTELLE que nous avions un peu découvert lors d’une précédente croisière.

Ce fut une journée formidable et pleine d’émotion. Nous avons assisté à la messe, la cathédrale est bondée de pèlerins et je reste sous l’envoûtement de chants religieux interprétés par une sœur avec une voix exceptionnelle et par le lancé de l’encensoir au dessus de la foule (qui applaudit- et oui dans une église des applaudissements, je n’en reviens pas).

Cette cathédrale est magnifique et la ville est une concentration de monuments tous plus beaux les uns que les autres. (Nous avons pris environ 150 photos).

Nous sommes sous le charme de cette citée et nous vous invitons vivement à la visiter.



JEUDI 28 MAI 2009

Départ de PORTOSIN, sous un beau soleil. Nous sommes vraiment en voyage maintenant et nous n’avons plus l’impression de convoyer « FLEUR DE LUNE » comme nous le ressentions auparavant.

Belle journée, sous spi puis au moteur.

Arrêt à BAIONA pour escale technique, nous avons une pièce qui s’use anormalement sur la bôme et nous devons absolument réparer. En mer ce n’est pas facile.

VENDREDI 29 MAI 2009

Réparation faite, nous partons visiter cette ville que nous avions déjà découverte, il fait 30 degrés et c’est l’été pour nous.

Un très beau fort domine l’entrée de la baie, et les ruelles étroites sont très typées.

Dernière ville avant le Portugal.









DU VENDREDI 29 MAI AU DIMANCHE 31 MAI

Nous suivons une côte très rectiligne qui nous amène vers Lisbonne.

Première nuit fabuleuse, vent de Nord Est force 2 à 3, mer belle et nous croyons être sous les alizés portugais, mais désenchantement qui suit car du 30 au 31 nous sommes obligés de mettre sous moteur et c’est avec bonheur que le dimanche nous rentrons dans l’estuaire du Tage et allons nous amarrer au port de CASCAIS.

La navigation s’est bien passée et nous sommes un peu surpris de n’avoir vu aucun animal.

Nous allons faire escale de 2 jours environ pour découvrir LISBONNE.